Titre :	La nuit de l'oracle
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Paul Auster (1947-....), Auteur ; Christine Le Boeuf, Traducteur ; Christine Le Boeuf, Traducteur
Editeur :	Paris : Librairie générale française
Année de publication :	2007
Collection :	Le livre de poche num. 30855
Importance :	280 p.
Présentation :	couv. ill.
Format :	18 cm
ISBN/ISSN/EAN :	978-2-253-11123-8
Prix :	6,50 EUR
Langues :	Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Résumé :	A près un long séjour à l'hôpital, l'écrivain Sidney Orr reprend goût à la vie, bien qu'il soit accablé par l'ampleur de ses dettes et par l'angoisse de la page blanche. Un matin, il découvre une papeterie au charme irrésistible. Il entre, attiré par un étrange carnet bleu. Le soir même, dans un état second, Sidney commence à écrire dans ce carnet une histoire captivante, sans qu'il devine où elle va le conduire, ni que le réel lui réserve de dangereuses surprises... Virtuosité, puissance narrative : La Nuit de l'oracle précipite le lecteur au c'ur des obsessions austériennes, comme si l'imaginaire n'était rien d'autre que le déroulement du temps avant la mort. Ou, pire encore, son origine.

La nuit de l'oracle [texte imprimé] / Paul Auster (1947-....), Auteur ; Christine Le Boeuf, Traducteur ; Christine Le Boeuf, Traducteur . - Paris : Librairie générale française, 2007 . - 280 p. : couv. ill. ; 18 cm. - (Le livre de poche; 30855) .
ISBN : 978-2-253-11123-8 : 6,50 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)

Résumé :

A près un long séjour à l'hôpital, l'écrivain Sidney Orr reprend goût à la vie, bien qu'il soit accablé par l'ampleur de ses dettes et par l'angoisse de la page blanche. Un matin, il découvre une papeterie au charme irrésistible. Il entre, attiré par un étrange carnet bleu. Le soir même, dans un état second, Sidney commence à écrire dans ce carnet une histoire captivante, sans qu'il devine où elle va le conduire, ni que le réel lui réserve de dangereuses surprises... Virtuosité, puissance narrative : La Nuit de l'oracle précipite le lecteur au c'ur des obsessions austériennes, comme si l'imaginaire n'était rien d'autre que le déroulement du temps avant la mort. Ou, pire encore, son origine.