Titre : |
Jacques CÅ“ur et son temps |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Georges Bordonove, Auteur |
Editeur : |
Paris : Pygmalion |
Année de publication : |
1977 |
Importance : |
246 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-85704-000-2 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Marchand, armateur, banquier, industriel, maître de mines, Jacques Coeur, né à Bourges vers 1395, a été investi des plus hautes charges publiques ; Commissaire royal et grand argentier, il restaura le commerce français après la Guerre de Cent Ans et rétablit les échanges Import-Export avec l'Orient.
Créateur avant la lettre des sociétés multinationales et des entreprises à succursales multiples, il réussit à stopper la dévaluation de la monnaie, s'efforçant en même temps d'instaurer une justice fiscale.
Génial administrateur doublé d'un inégalable esprit d'entreprise, mécène, constructeur (son palais de Bourges est le plus beau monument civil de l'époque), il fut couvert d'honneurs et passa pour l'homme le plus riche du royaume.
Arrêté sous un prétexte futile, il fut condamné, au terme d'un simulacre de procès, à une énorme amende, à la confiscation de tous ses biens et au bannissement transformé par ordre du roi, Charles VII, en emprisonnement.
Sa chute brutale, sa captivité aggravée de tortures, son extraordinaire évasion et sa mort lointaine ajoutent une touche tragique à sa destinée prodigieuse, non sans étroite similitude avec celle que connaîtra, un peu plus de deux siècles plus tard, l'infortuné FOUCQUET
|
Jacques Cœur et son temps [texte imprimé] / Georges Bordonove, Auteur . - Paris : Pygmalion, 1977 . - 246 p. ISBN : 978-2-85704-000-2 Langues : Français ( fre)
Résumé : |
Marchand, armateur, banquier, industriel, maître de mines, Jacques Coeur, né à Bourges vers 1395, a été investi des plus hautes charges publiques ; Commissaire royal et grand argentier, il restaura le commerce français après la Guerre de Cent Ans et rétablit les échanges Import-Export avec l'Orient.
Créateur avant la lettre des sociétés multinationales et des entreprises à succursales multiples, il réussit à stopper la dévaluation de la monnaie, s'efforçant en même temps d'instaurer une justice fiscale.
Génial administrateur doublé d'un inégalable esprit d'entreprise, mécène, constructeur (son palais de Bourges est le plus beau monument civil de l'époque), il fut couvert d'honneurs et passa pour l'homme le plus riche du royaume.
Arrêté sous un prétexte futile, il fut condamné, au terme d'un simulacre de procès, à une énorme amende, à la confiscation de tous ses biens et au bannissement transformé par ordre du roi, Charles VII, en emprisonnement.
Sa chute brutale, sa captivité aggravée de tortures, son extraordinaire évasion et sa mort lointaine ajoutent une touche tragique à sa destinée prodigieuse, non sans étroite similitude avec celle que connaîtra, un peu plus de deux siècles plus tard, l'infortuné FOUCQUET
|
| |