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Le lit défait / Françoise Sagan
Titre : Le lit défait : roman Type de document : texte imprimé Auteurs : Françoise Sagan (1935-2004), Auteur Editeur : Paris : Stock Année de publication : 2010 Importance : 1 vol. 354 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-234-06360-0 Prix : 19 EUR Langues : Français (fre) Résumé : Lorsque Béatrice a quitté négligemment Édouard cinq ans plus tôt, elle l'a vite remplacé. Ce garçon, bien que séduisant, était très jeune et manquait d'avenir. Mais le voilà désormais auteur à succès, coqueluche du Tout-Paris et toujours aussi fou d'elle. Béatrice, la magnifique et féroce actrice de boulevard, retombe dans ses bras, étonnée de se souvenir encore de lui. Le beau couple qu'ils forment ne manque pas d'exciter les curiosités, chacun se demandant combien de temps il va durer. Et puis, un jour, Béatrice comprend qu'elle aime, pour la première fois. Elle aime Édouard. Françoise Sagan dépeint les sentiments amoureux avec une telle acuité, une telle vérité qu'on peut croire qu'elle décrit les propres mouvements de son cœur.
Sagan joue à l’apothicaire, extrait de l’essence de souffrance et laisse décanter la passion. Une expérience délicate pour un résultat inattendu, l’amour… Olivia Mauriac, Madame Figaro.Le lit défait : roman [texte imprimé] / Françoise Sagan (1935-2004), Auteur . - Paris : Stock, 2010 . - 1 vol. 354 p. ; 22 cm.
ISBN : 978-2-234-06360-0 : 19 EUR
Langues : Français (fre)
Résumé : Lorsque Béatrice a quitté négligemment Édouard cinq ans plus tôt, elle l'a vite remplacé. Ce garçon, bien que séduisant, était très jeune et manquait d'avenir. Mais le voilà désormais auteur à succès, coqueluche du Tout-Paris et toujours aussi fou d'elle. Béatrice, la magnifique et féroce actrice de boulevard, retombe dans ses bras, étonnée de se souvenir encore de lui. Le beau couple qu'ils forment ne manque pas d'exciter les curiosités, chacun se demandant combien de temps il va durer. Et puis, un jour, Béatrice comprend qu'elle aime, pour la première fois. Elle aime Édouard. Françoise Sagan dépeint les sentiments amoureux avec une telle acuité, une telle vérité qu'on peut croire qu'elle décrit les propres mouvements de son cœur.
Sagan joue à l’apothicaire, extrait de l’essence de souffrance et laisse décanter la passion. Une expérience délicate pour un résultat inattendu, l’amour… Olivia Mauriac, Madame Figaro.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 576 R-SAG Livre Bibliothèque aux Trois Dumas Fictions Empruntable
DisponibleMalaisie / Henri Fauconnier
Titre : Malaisie : roman Type de document : texte imprimé Auteurs : Henri Fauconnier (1879-1973), Auteur Editeur : Paris : Stock Année de publication : 1998 Importance : 246 p. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-234-05057-0 Prix : 120 F Langues : Français (fre) Résumé : Malaisie L'avion glisse doucement dans l'ouate des nuages qui peu à peu s'effiloche. Et tout à coup, au fond d'un abîme, voici la terreà Ma terre promise, la Malaisie !à C'est le même saisissement, le coup de foudre de ma première initiation. Je suis reconquis, envoûté, je m'abandonne au charme, à la magie des choses Ce choc de retrouvailles, Henri Fauconnier l'éprouve en 1957, de retour dans ce pays immense et mystérieux, où il vécut de 1905 à 1925. Vingt années à partager ses journées entre le dur labeur de planteur de caoutchouc et la découverte d'un pays qui le fascine - de l' accueil simple et souriant des villageois malais à la touffeur de la jungle, où l'on pénètre comme dans un sanctuaire . C'est fort de cette expérience inédite qu'Henri Fauconnier - homme d'action et pionnier, mais avant tout écrivain - rédige son unique roman, Malaisie . Lescale débarque en Malaisie pour rejoindre son ami Rolain, rencontré dans une tranchée pendant la Grande Guerre. Ce dernier y exploite une plantation, perdue au milieu de la jungle - refuge de solitude et de sérénité. Lescale, venu travailler à ses côtés, y apprend la vie large et libre sous les grandes forêts équatoriales . Les longues conversations qu'entretiennent les deux hommes, le soir venu, emmènent le lecteur à la rencontre de l'univers malais, à la recherche de sa dimension secrète. Mais Malaisie , c'est aussi l'évocation de paysages superbes, du travail dans les plantations, de l'univers colonial de l'entre-deux-guerres - des aventures étranges, des couleurs et des parfums envoûtants. Prix Goncourt en 1930, déjà plusieurs fois réédité, Malaisie fut un best-seller, traduit en de nombreuses langues. Malaisie : roman [texte imprimé] / Henri Fauconnier (1879-1973), Auteur . - Paris : Stock, 1998 . - 246 p. ; 23 cm.
ISBN : 978-2-234-05057-0 : 120 F
Langues : Français (fre)
Résumé : Malaisie L'avion glisse doucement dans l'ouate des nuages qui peu à peu s'effiloche. Et tout à coup, au fond d'un abîme, voici la terreà Ma terre promise, la Malaisie !à C'est le même saisissement, le coup de foudre de ma première initiation. Je suis reconquis, envoûté, je m'abandonne au charme, à la magie des choses Ce choc de retrouvailles, Henri Fauconnier l'éprouve en 1957, de retour dans ce pays immense et mystérieux, où il vécut de 1905 à 1925. Vingt années à partager ses journées entre le dur labeur de planteur de caoutchouc et la découverte d'un pays qui le fascine - de l' accueil simple et souriant des villageois malais à la touffeur de la jungle, où l'on pénètre comme dans un sanctuaire . C'est fort de cette expérience inédite qu'Henri Fauconnier - homme d'action et pionnier, mais avant tout écrivain - rédige son unique roman, Malaisie . Lescale débarque en Malaisie pour rejoindre son ami Rolain, rencontré dans une tranchée pendant la Grande Guerre. Ce dernier y exploite une plantation, perdue au milieu de la jungle - refuge de solitude et de sérénité. Lescale, venu travailler à ses côtés, y apprend la vie large et libre sous les grandes forêts équatoriales . Les longues conversations qu'entretiennent les deux hommes, le soir venu, emmènent le lecteur à la rencontre de l'univers malais, à la recherche de sa dimension secrète. Mais Malaisie , c'est aussi l'évocation de paysages superbes, du travail dans les plantations, de l'univers colonial de l'entre-deux-guerres - des aventures étranges, des couleurs et des parfums envoûtants. Prix Goncourt en 1930, déjà plusieurs fois réédité, Malaisie fut un best-seller, traduit en de nombreuses langues. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 742 R-FAU Livre Bibliothèque aux Trois Dumas Fictions Empruntable
DisponibleLe malheur innocent / Georges Hourdin
Titre : Le malheur innocent Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Hourdin, Auteur Editeur : Paris : Stock Année de publication : 1976 Importance : 269 p. Présentation : jaquette ill. Langues : Français (fre) Le malheur innocent [texte imprimé] / Georges Hourdin, Auteur . - Paris : Stock, 1976 . - 269 p. : jaquette ill.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 5164 R-HOU Livre Bibliothèque aux Trois Dumas Fictions Empruntable
DisponibleMalika ou un jour comme tous les autres / Valérie Valère
Titre : Malika ou un jour comme tous les autres Type de document : texte imprimé Auteurs : Valérie Valère, Auteur Editeur : Paris : Stock Année de publication : 1981 Importance : 319 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-234-01061-1 Langues : Français (fre) Malika ou un jour comme tous les autres [texte imprimé] / Valérie Valère, Auteur . - Paris : Stock, 1981 . - 319 p.
ISBN : 978-2-234-01061-1
Langues : Français (fre)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1763 R-VAL Livre Bibliothèque aux Trois Dumas Fictions Empruntable
DisponibleMémoire / Catherine Clément
Titre : Mémoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Clément (1939-....), Auteur Editeur : Paris : Stock Année de publication : impr. 2008 Importance : 1 vol. (580 p.) Présentation : couv. ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-234-05964-1 Prix : 24 EUR Note générale : Index Langues : Français (fre) Mots-clés : Clément Biographies Index. décimale : Résumé : Quand il avait un an, je l'ai mordu. Il s'accrochait aux barreaux de son parc, il ne marchait pas encore et je l'ai mordu de toutes mes forces. La trace de mes dents formait un bel arc bleu sur la peau délicate de son ventre de bébé ; il n'y avait aucun doute, j'avais mordu mon frère. Il se mit à hurler. La punition tomba : une minute plus tard, j'étais privée de lui. Je n'eus plus le droit de le toucher. J'avais sept ans. Le même, ce matin, soixante-trois ans plus tard. « Alors, tu ne m'aimes plus ' » dit-il d'une voix fâchée. On n'a pas réussi à se parler hier et cela ne rentre pas dans notre ordre des choses. En temps normal, on se parle tous les jours et quand il est en Chine ou que je suis en Inde, on s'envoie des textos. On a toujours besoin de savoir où l'on est, ce qu'on fait au long de la journée, si tout va bien ce soir. Nos chicayas ne durent jamais longtemps, deux heures de fâcherie dans le pire des cas. Il lui est arrivé d'écrire que nos liens étaient indestructibles et tout prouve que c'est vrai. Il est mon frère unique sans qui je n'existerais plus. Hegel dit cela très bien à propos d'Antigone : « La relation sans mélange a lieu entre le frère et la soeur. Ils sont le même sang, mais parvenu en eux au repos et à l'équilibre. » Enlevez l'un, l'autre va mal. L'inconvénient avec cet amour-là , c'est qu'il pousse chacun de nous à croire l'autre immortel. Il va falloir bientôt penser à le préparer à ma disparition, car si je ne m'en occupe pas, il souffrira. Cet amour-là , on ne nous l'a pas donné. Nos débuts ont été tumultueux. J'avais un peu plus de cinq ans lorsque Rivka, ma mère, s'aperçut qu'elle était enceinte, en septembre 1944, juste après la libération de Paris en août. Ah, Rivka ! À l'état civil, elle s'appelait Raymonde, à cause de Raymond Poincaré ; mais son nom en hébreu est Rivka, en français Rébecca. Rivka, gloire de sa famille. Elle est dans un de mes romans et trois de mes récits ; elle est racontée dans un récit de mon frère, Plus tard tu comprendras, adapté pour la scène par Cécile, ma fille ; elle est jouée par Jeanne Moreau dans Plus tard, le film d'Amos Gitaï. En lettres capitales, le film lui est dédié : À RIVKA. Grand-mère de six petits-enfants, Rivka, dite Raymonde, garde encore de bonnes chances de survie artistique. La preuve, elle m'occupe. Il existe une photo d'elle à trente ans, très posée, très coiffée, studio Harcourt. Sa bouche est pleine, gonflée, chaque lèvre égale à l'autre. L'ovale de son visage est parfaitement limpide ; la joue, rose et ivoire comme la peau d'une grenade ; le nez, légèrement busqué, ni trop long ni gros ; les cheveux sont denses et puissants, dégageant bien le front. Pommettes hautes. En vérité, tout ce qu'elle a d'Orient se trouve dans le regard : l'arc du sourcil étiré vers la tempe, l'oeil, noir et vif comme pupille de colombe reflétant une tristesse qui veut dire au sourire « Cache-toi ! On va te voir, attention ! » Rivka, la fiancée du Cantique des Cantiques. Pendant toute la guerre, elle avait réussi à survivre à Paris en changeant souvent de domicile, protégée par un médecin de l'Abwehr, un Juste allemand qui venait l'avertir quand la Gestapo ou la milice française allaient venir l'arrêter. J'ai déjà raconté cette histoire, mais quand j'écris ces mots, je suis chaque fois stupéfaite de ce qu'ils signifient. Un médecin allemand ' Pendant l'Occupation ' Le médecin de l'Abwehr, le service de renseignements de la Wehrmacht ' Mémoire [texte imprimé] / Catherine Clément (1939-....), Auteur . - Paris : Stock, impr. 2008 . - 1 vol. (580 p.) : couv. ill. ; 23 cm.
ISBN : 978-2-234-05964-1 : 24 EUR
Index
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Clément Biographies Index. décimale : Résumé : Quand il avait un an, je l'ai mordu. Il s'accrochait aux barreaux de son parc, il ne marchait pas encore et je l'ai mordu de toutes mes forces. La trace de mes dents formait un bel arc bleu sur la peau délicate de son ventre de bébé ; il n'y avait aucun doute, j'avais mordu mon frère. Il se mit à hurler. La punition tomba : une minute plus tard, j'étais privée de lui. Je n'eus plus le droit de le toucher. J'avais sept ans. Le même, ce matin, soixante-trois ans plus tard. « Alors, tu ne m'aimes plus ' » dit-il d'une voix fâchée. On n'a pas réussi à se parler hier et cela ne rentre pas dans notre ordre des choses. En temps normal, on se parle tous les jours et quand il est en Chine ou que je suis en Inde, on s'envoie des textos. On a toujours besoin de savoir où l'on est, ce qu'on fait au long de la journée, si tout va bien ce soir. Nos chicayas ne durent jamais longtemps, deux heures de fâcherie dans le pire des cas. Il lui est arrivé d'écrire que nos liens étaient indestructibles et tout prouve que c'est vrai. Il est mon frère unique sans qui je n'existerais plus. Hegel dit cela très bien à propos d'Antigone : « La relation sans mélange a lieu entre le frère et la soeur. Ils sont le même sang, mais parvenu en eux au repos et à l'équilibre. » Enlevez l'un, l'autre va mal. L'inconvénient avec cet amour-là , c'est qu'il pousse chacun de nous à croire l'autre immortel. Il va falloir bientôt penser à le préparer à ma disparition, car si je ne m'en occupe pas, il souffrira. Cet amour-là , on ne nous l'a pas donné. Nos débuts ont été tumultueux. J'avais un peu plus de cinq ans lorsque Rivka, ma mère, s'aperçut qu'elle était enceinte, en septembre 1944, juste après la libération de Paris en août. Ah, Rivka ! À l'état civil, elle s'appelait Raymonde, à cause de Raymond Poincaré ; mais son nom en hébreu est Rivka, en français Rébecca. Rivka, gloire de sa famille. Elle est dans un de mes romans et trois de mes récits ; elle est racontée dans un récit de mon frère, Plus tard tu comprendras, adapté pour la scène par Cécile, ma fille ; elle est jouée par Jeanne Moreau dans Plus tard, le film d'Amos Gitaï. En lettres capitales, le film lui est dédié : À RIVKA. Grand-mère de six petits-enfants, Rivka, dite Raymonde, garde encore de bonnes chances de survie artistique. La preuve, elle m'occupe. Il existe une photo d'elle à trente ans, très posée, très coiffée, studio Harcourt. Sa bouche est pleine, gonflée, chaque lèvre égale à l'autre. L'ovale de son visage est parfaitement limpide ; la joue, rose et ivoire comme la peau d'une grenade ; le nez, légèrement busqué, ni trop long ni gros ; les cheveux sont denses et puissants, dégageant bien le front. Pommettes hautes. En vérité, tout ce qu'elle a d'Orient se trouve dans le regard : l'arc du sourcil étiré vers la tempe, l'oeil, noir et vif comme pupille de colombe reflétant une tristesse qui veut dire au sourire « Cache-toi ! On va te voir, attention ! » Rivka, la fiancée du Cantique des Cantiques. Pendant toute la guerre, elle avait réussi à survivre à Paris en changeant souvent de domicile, protégée par un médecin de l'Abwehr, un Juste allemand qui venait l'avertir quand la Gestapo ou la milice française allaient venir l'arrêter. J'ai déjà raconté cette histoire, mais quand j'écris ces mots, je suis chaque fois stupéfaite de ce qu'ils signifient. Un médecin allemand ' Pendant l'Occupation ' Le médecin de l'Abwehr, le service de renseignements de la Wehrmacht ' Réservation
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Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 4368 B-CLE Livre Bibliothèque aux Trois Dumas Fictions Empruntable
DisponibleDe mémoire d'homme / Jean-Marc Thibault
PermalinkLa mousson / Louis Bromfield
PermalinkMrs. Dalloway / Virginia Woolf
PermalinkMrs. Parkington / Louis Bromfield
PermalinkLa nostalgie de l'espérance / Jeannette Colombel
PermalinkOù on va, papa ? / Jean-Louis Fournier
PermalinkLe Passé ressuscité / Franz Werfel
PermalinkLe pénitent / Isaac Bashevis Singer
PermalinkLa pilule, et après ? / Catherine Valabrègue
PermalinkPivoine / Pearl Buck
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