Titre : |
Bîr d'eau, à Walkmovie : Protrait d'une rue d'Alger |
Type de document : |
document projeté ou vidéo |
Auteurs : |
Djamil Beloucif, Metteur en scène, réalisateur ; Ali Umut Ergin, Monteur |
Editeur : |
ADA Films Production |
Année de publication : |
2011 |
Importance : |
1 dvd, 77 min. |
Présentation : |
Sous-titres français, couleur, mono |
Format : |
4/3, DVD 5, Multizones, PAL |
ISBN/ISSN/EAN : |
3760114952066 |
Langues : |
Français (fre) |
Index. décimale : |
778.55 Projection cinématographique |
Résumé : |
Portrait d'une rue d'Alger où un film se fait et se défait sous le regard d'une caméra. « J’ai voulu explorer la question des regards qui questionnent le regard. Les gens du lieu face à une caméra étrange, étrangère mais aussi questionner le regard des futurs spectateurs qui le verraient, sommés de se fabriquer un sujet et de lui donner sa forme car je n’y ai mis ni histoire, ni sujet à proprement parler, même si certains ont vu la caméra comme un sujet ; mais réellement, j’ai voulu m’éloigner de tout ça. Mon but : essayer quelque chose, tenter un coup. Je crois que pour ce type de film, un sujet ne pouvait que nuire à la qualité de ce que l’on voit ; c’est en gros un état des lieux (de cette rue) vu par moi en 2010. » Djamil Beloucif Extrait d'un entretien avec Habiba Djahnine, réalisatrice et Présidente de Cinéma et mémoire |
Bîr d'eau, à Walkmovie : Protrait d'une rue d'Alger [document projeté ou vidéo] / Djamil Beloucif, Metteur en scène, réalisateur ; Ali Umut Ergin, Monteur . - ADA Films Production, 2011 . - 1 dvd, 77 min. : Sous-titres français, couleur, mono ; 4/3, DVD 5, Multizones, PAL. ISSN : 3760114952066 Langues : Français ( fre)
Index. décimale : |
778.55 Projection cinématographique |
Résumé : |
Portrait d'une rue d'Alger où un film se fait et se défait sous le regard d'une caméra. « J’ai voulu explorer la question des regards qui questionnent le regard. Les gens du lieu face à une caméra étrange, étrangère mais aussi questionner le regard des futurs spectateurs qui le verraient, sommés de se fabriquer un sujet et de lui donner sa forme car je n’y ai mis ni histoire, ni sujet à proprement parler, même si certains ont vu la caméra comme un sujet ; mais réellement, j’ai voulu m’éloigner de tout ça. Mon but : essayer quelque chose, tenter un coup. Je crois que pour ce type de film, un sujet ne pouvait que nuire à la qualité de ce que l’on voit ; c’est en gros un état des lieux (de cette rue) vu par moi en 2010. » Djamil Beloucif Extrait d'un entretien avec Habiba Djahnine, réalisatrice et Présidente de Cinéma et mémoire |
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