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François Arago / Monique Sicard
Titre : François Arago Type de document : texte imprimé Auteurs : Monique Sicard (1952-....), Auteur ; Francois Arago, Photographe Editeur : Arles : Actes Sud Année de publication : 2012 Collection : Photo poche Sous-collection : Histoire num. 9 Importance : non paginé Présentation : nombreuses ill., couv. ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7427-9358-7 Prix : 13 EUR Note générale : Bibliogr., 1 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Arago Et la photographie Daguerréotype Index. décimale : 770 La photographie et les photographies : classer la photographie technique à 621.367 Indexation Locale : 770 - Photographie François Arago [texte imprimé] / Monique Sicard (1952-....), Auteur ; Francois Arago, Photographe . - , 2012 . - non paginé : nombreuses ill., couv. ill. ; 19 cm. - (Photo poche. Histoire; 9) .
ISBN : 978-2-7427-9358-7 : 13 EUR
Bibliogr., 1 p.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Arago Et la photographie Daguerréotype Index. décimale : 770 La photographie et les photographies : classer la photographie technique à 621.367 Indexation Locale : 770 - Photographie Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0109603 770-ARA Livre Bibliothèque Monique Calixte Espace Adulte Disponible Sarajevo / Milomir KovaÏceviÂc
Titre : Sarajevo : ma ville, mon destin Type de document : texte imprimé Auteurs : Milomir KovaÏceviÂc (1961-....), Auteur ; François Maspero (1932-....), Auteur ; Andrea LeÏsiÂc, Auteur Editeur : Arles : Actes Sud Année de publication : impr. 2012 Collection : Photo poche Sous-collection : Histoire num. 10 Importance : 1 vol. (non paginé [ca 140] p.) Présentation : nombreuses ill., couv. ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-330-01224-3 Prix : 13 EUR Note générale : Bio-bibliogr., 1 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : Sarajevo (Bosnie-Herzégovine) Photographies 1992-1996 (Siège) Moeurs et coutumes 1990-.... Index. décimale : 025.7 Service d'équipement des documents. Etiquetage, reluire Résumé : "C'est l'histoire d'un pays, d'une ville, de ses habitants, d'un homme. Le pays n'existe plus : c'était la Yougoslavie. La ville a été blessée à jamais : c'est Sarajevo. Ses habitants, en grande partie, ne sont plus les mêmes, certains tués, d'autres partis. L'homme est vivant mais blessé, lui aussi, pour la vie. Il se souvient, et ces photos sont comme les cicatrices indélébiles de ce souvenir. Aussi indélébiles que celle de la balle qui l'a frappé au menton, un jour comme les autres, parmi les mille trois cent quatre-vingt-quinze jours qu'a duré le siège." Ainsi l'écrivain François Maspero évoque-t-il l'exceptionnel travail que le photographe Milomir Kovacevic a consacré à son pays, devenu aujourd'hui Bosnie-Herzégovine, et à sa ville emblématique, Sarajevo. Né à Cajnice en 1961, Milomir Kovacevic, qui a commencé dès l'âge de dix-sept ans la pratique de la photographie, est en quelque sorte le chroniqueur infatigable et passionné de Sarajevo. Il a commencé à en arpenter les rues, armé de son premier Nikon, alors qu'il était étudiant, parcourant une ville "qui vibrait de la beauté de ses habitants", cherchant à la saisir dans sa diversité et son étonnante vitalité. Devenu photographe de presse, il a connu et documenté ce qu'il définit lui-même comme les trois époques d'une ville dont la traversée du XXe siècle s'apparente à une page emblématique de l'histoire contemporaine. Elle commence par le Sarajevo d'avant 1990, qu'il décrit comme une ville paisible, capitale culturelle et ouverte d'une Yougoslavie où le régime du maréchal Tito distend partiellement un rideau de fer qui ceinture l'Est de l'Europe. La fraternité et le désir d'avenir, symbolisés par l'hommage aux héros et l'enthousiasme des pionniers, ne connaissaient pas alors le poison des nationalismes particuliers. Le 6 avril 1992, l'édification des premières barricades marque le début de l'effroyable siège de la ville qui, quatre années durant, va révéler à l'Europe sa fragilité et au monde l'impuissance de sa solidarité. Plongé au coeur du drame, Milomir Kovacevic fait de son appareil "un bouclier et une épée", parcourant la ville sur laquelle s'abattent les premiers obus. L'assassinat de son propre père achève de briser "l'irréel de cette tragédie" et fait de sa quête photographique "un besoin", une nécessité irrépressible de "garder la trace et de faire de l'enfer sarajévien un document visuel qui accompagnera avec pudeur et discrétion le quotidien des habitants, leur rendant ne serait-ce qu'un peu de leur fierté". Vient enfin le temps de la paix, plus exactement celui de l'après-guerre. Milomir Kovacevic sait mieux que quiconque le poids des souvenirs hantés, des blessures traumatisantes, des reconstructions fragiles, qu'il saisit dans la pudeur de leur manifestation. Installé à Paris, il entreprend de faire découvrir au monde, à travers expositions et publications, l'horreur d'un conflit dont l'histoire n'a pas fini de s'écrire, tout en poursuivant une recherche sur la mémoire des disparus et la vie solidaire des exilés dispersés. Sarajevo : ma ville, mon destin [texte imprimé] / Milomir KovaÏceviÂc (1961-....), Auteur ; François Maspero (1932-....), Auteur ; Andrea LeÏsiÂc, Auteur . - , impr. 2012 . - 1 vol. (non paginé [ca 140] p.) : nombreuses ill., couv. ill. ; 19 cm. - (Photo poche. Histoire; 10) .
ISBN : 978-2-330-01224-3 : 13 EUR
Bio-bibliogr., 1 p.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Sarajevo (Bosnie-Herzégovine) Photographies 1992-1996 (Siège) Moeurs et coutumes 1990-.... Index. décimale : 025.7 Service d'équipement des documents. Etiquetage, reluire Résumé : "C'est l'histoire d'un pays, d'une ville, de ses habitants, d'un homme. Le pays n'existe plus : c'était la Yougoslavie. La ville a été blessée à jamais : c'est Sarajevo. Ses habitants, en grande partie, ne sont plus les mêmes, certains tués, d'autres partis. L'homme est vivant mais blessé, lui aussi, pour la vie. Il se souvient, et ces photos sont comme les cicatrices indélébiles de ce souvenir. Aussi indélébiles que celle de la balle qui l'a frappé au menton, un jour comme les autres, parmi les mille trois cent quatre-vingt-quinze jours qu'a duré le siège." Ainsi l'écrivain François Maspero évoque-t-il l'exceptionnel travail que le photographe Milomir Kovacevic a consacré à son pays, devenu aujourd'hui Bosnie-Herzégovine, et à sa ville emblématique, Sarajevo. Né à Cajnice en 1961, Milomir Kovacevic, qui a commencé dès l'âge de dix-sept ans la pratique de la photographie, est en quelque sorte le chroniqueur infatigable et passionné de Sarajevo. Il a commencé à en arpenter les rues, armé de son premier Nikon, alors qu'il était étudiant, parcourant une ville "qui vibrait de la beauté de ses habitants", cherchant à la saisir dans sa diversité et son étonnante vitalité. Devenu photographe de presse, il a connu et documenté ce qu'il définit lui-même comme les trois époques d'une ville dont la traversée du XXe siècle s'apparente à une page emblématique de l'histoire contemporaine. Elle commence par le Sarajevo d'avant 1990, qu'il décrit comme une ville paisible, capitale culturelle et ouverte d'une Yougoslavie où le régime du maréchal Tito distend partiellement un rideau de fer qui ceinture l'Est de l'Europe. La fraternité et le désir d'avenir, symbolisés par l'hommage aux héros et l'enthousiasme des pionniers, ne connaissaient pas alors le poison des nationalismes particuliers. Le 6 avril 1992, l'édification des premières barricades marque le début de l'effroyable siège de la ville qui, quatre années durant, va révéler à l'Europe sa fragilité et au monde l'impuissance de sa solidarité. Plongé au coeur du drame, Milomir Kovacevic fait de son appareil "un bouclier et une épée", parcourant la ville sur laquelle s'abattent les premiers obus. L'assassinat de son propre père achève de briser "l'irréel de cette tragédie" et fait de sa quête photographique "un besoin", une nécessité irrépressible de "garder la trace et de faire de l'enfer sarajévien un document visuel qui accompagnera avec pudeur et discrétion le quotidien des habitants, leur rendant ne serait-ce qu'un peu de leur fierté". Vient enfin le temps de la paix, plus exactement celui de l'après-guerre. Milomir Kovacevic sait mieux que quiconque le poids des souvenirs hantés, des blessures traumatisantes, des reconstructions fragiles, qu'il saisit dans la pudeur de leur manifestation. Installé à Paris, il entreprend de faire découvrir au monde, à travers expositions et publications, l'horreur d'un conflit dont l'histoire n'a pas fini de s'écrire, tout en poursuivant une recherche sur la mémoire des disparus et la vie solidaire des exilés dispersés. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0109694 770-KOV Livre Bibliothèque Monique Calixte Espace Adulte Disponible